A fond sur Joel Ordonez, l’OM doit faire face à plusieurs freins et tente de les contourner un par un. Mais l’ampleur de la tâche est grande…
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L’OM est prêt à frapper fort sur le marché des transferts et le nom de Joel Ordonez circule avec insistance du côté de la Canebière. Le défenseur équatorien du Club Bruges s’est imposé comme l’un des talents les plus prometteurs en Europe, attirant l’œil des dirigeants marseillais. Mais si Pablo Longoria et Mehdi Benatia veulent boucler ce dossier, trois obstacles majeurs se dressent sur leur route, et chacun pourrait compliquer sérieusement l’opération.
Une concurrence féroce en Europe
Premier frein : la concurrence. L’OM n’est pas seul sur le coup, loin de là. Liverpool, Newcastle, Chelsea et Aston Villa surveillent également le profil du solide défenseur de 21 ans. Ces clubs anglais disposent non seulement d’un budget plus conséquent, mais aussi d’un pouvoir d’attraction supérieur sur le marché. Pour espérer convaincre Ordonez, l’OM devra donc miser sur un projet sportif ambitieux, capable de rivaliser avec les propositions de Premier League.
Ventes obligatoires et négociations serrées
Le deuxième obstacle est interne : avant de recruter, l’OM doit vendre. Plusieurs départs sont envisagés, parmi lesquels Azzedine Ounahi, Faris Moumbagna ou encore Jonathan Rowe, afin de dégager une enveloppe suffisante pour l’opération. Enfin, le dernier point sensible concerne les négociations avec Bruges. Le club belge réclame près de 30 M€, mais c’est surtout le pourcentage à la revente qui bloque pour l’instant les discussions. Longoria devra donc faire preuve de patience et de diplomatie pour aligner toutes les planètes.
Si l’OM parvient à surmonter ces trois obstacles, Joel Ordonez pourrait devenir l’une des recrues phares du mercato estival marseillais. Mais pour y arriver, il faudra non seulement convaincre le joueur et Bruges, mais aussi se montrer habile dans les ventes et la gestion du budget. Un véritable test pour la cellule de recrutement olympienne.
