La tournure des événements à l’OM suscite la stupeur totale chez les supporters et l’incompréhension générale parmi tous les observateurs européens. Et dire qu’il y a encore une semaine, la hype phocéenne était encore à son paroxysme…
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Il y a moins d’une semaine, nombreux étaient les passages du « train OM ». Piloté par Roberto De Zerbi, brillamment attelé par Medhi Benatia, le projet marseillais pour 2025-2026 avait fière allure. Des recrues très intéressantes, un effectif rarement aussi complet et compétitif et l’envie de voir cette équipe jouer les premiers rôles au-delà de la scène nationale. Et puis… patatras.
La crise d’août, le retour…
Comme cela est déjà arrivé dans un passé récent à l’OM (Sampaoli, Marcelino), la crise d’août est passée par là. Une défaite à Rennes, en supériorité numérique (0-1), a fait retomber le soufflé. Tensions dans le vestiaire, bagarre entre Jonathan Rowe et Adrien Rabiot et ce mardi, un communiqué du club qui plonge le peuple phocéen dans la 6e dimension : « L'Olympique de Marseille informe qu'Adrien Rabiot et Jonathan Rowe ont été placés sur la liste des transferts par le club, écrit le club phocéen. Cette décision a été prise en raison d'un comportement inadmissible dans le vestiaire après le match contre le Stade Rennais FC, en accord avec le staff technique et en application du code de conduite interne du club. La décision a été communiquée par le club aux deux joueurs ce lundi ».
Un immense gâchis…
Quelle mouche a piqué l’OM pour se mettre dans une telle situation ? Si l’histoire Rowe/Rabiot avec la gifle, le début de bagarre et Benatia pour les séparer justifie des sanctions en interne, de là à organiser le départ de deux titulaires aussi précieux dans le projet marseillais frise avec le délire complet… Un immense gâchis se dessine et Roberto De Zerbi va devoir relever un OM bien malade après seulement une journée de Ligue 1. Supporters, dirigeants, observateurs et journalistes hallucinent devant une telle évolution, rapide et extrême. Mais comme les Marseillais aiment à le dire : « C’est l’OM… »
